Interview Bertrand Burgalat

Un très beau texte ma foi...
Ce qui m'énèrve le plus dans cette histoire c'est qu'en majeure partie tout le monde, peu ou prou s'en tape complètement.
Les sujets abordés sont disséqués avec toute la pertinance qu'on lui connait (ou plutôt que pas grand monde ne connait, d'où la dette, d'où ce post).
http://www.popnews.com/popnews/burgalatitw1/
Bon sang, j'aurais les fonds, je lui filerais de quoi sortir l'équivalent d'une carrière fumeuse à la Prince.
Et puis quelqu'un comme lui ayant sorti de l'ombre André Popp (pour lequel j'ai plus de tendresse que n'importe quel Stooges. Si aujourd'hui j'aime par dessus tout poser un disque sur une platine c'est en partie grâce à lui, bon alors) mérite toute mon atention.
Quoi ? J'aime ses disques, la façon dont ils sont faits, le son bizarre indéfini au loin sous la couche du groupe en train de jouer, oui, ce machin là qui passe sur la bande sans qu'on sache qui quoi quand. Joe Meek, White Noise, Can, Lee Perry et tous les autres qui enregistrent l'INDICIBLE avant de brancher la moindre guitare.
C'est du Robert Wyatt à la fin de "Sea Song" : "We're not Alone..."
Je n'y peut rien. C'est peut être ça la poursuite du bonheur.

Il en faudrait plus, des mecs comme ça...ça remplacerait bien pas de fils de truites qui croient posséder la culture................................(tiens on en a pas déjà parlé de ça ?!)