Toxic Kiss back in Lons...
Distance et efficience, Adèle et Carole ont été d'une courtoisie assez peu commune pour être largement citée ici, ce qui n'est pas exactement dans mes habitudes, ceux qui me connaissent en conviendront.
Oui, merci, du fond du coeur.
Et bien sûr j'ai le blues depuis dimanche après midi...
Alors, j'aurais bien aimé laisser mon fantôme errer dans les rues grises de la ville en compagnie des Strange Sisters, 2 jours durant, 2 jours étranges sans vraiment parler voilà ce dont j'avais besoin.
48 heures spéciales pour Marc Ofzemole donc (ou comment hanter le Jura en Lewis 505 crème).
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Je sais que Lee Heaven postera d'immondes photos de moi en train de postuler pour la reformation d'Uzeb ou un article de fond pour Basse Mag (où je parlerais pendant des heures de "l'amitié entre les musiciens" ou "du positivisme à travers le Post-Jazz-Electro-Progressif", un chouette article non ? Non.) alors je le distance de quelques heures. De toute façon c'est bien fait pour moi.
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Mardi : et j'ai toujours le blues. J'écoute donc le dernier album de Depeche Mode et le "Rock Bottom" de Robert Wyatt pour enfoncer définitivement le clou.